Seulement 10 jours pour relier l’Océan Atlantique à la Méditerranée par les sentiers pyrénéens !

Souvenez-vous il y a un an, en juillet 2017, Tito Tomasi réalisait une première traversée express de massif à VTT (l’arc alpin en 21 jours). Tombé sous le charme de ce genre de défi, le Gattiérois a voulu se mesurer à une autre chaine de montagne cet été. Mercredi 11 juillet 2018, il a donc quitté Hendaye (côte Atlantique) et s’est lancé à l’assaut des Pyrénées d’Ouest en Est, avec l’objectif de boucler les 800 km en deux semaines.

Tito Tomasi traversee Pyrenees bandeau 3

Dix jours plus tard, vendredi 20 juillet, je recevais un message de Tito à 17h :

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…puis un second cinq heures plus tard, à 22h, le montrant sur la plage de Banyuls-sur-Mer :

Tito Tomasi traversee Pyrenees 10

Au terme d’une ultime étape de psychopathe (153 km et 4400 m de dénivelé positif), Tito Tomasi aura donc bouclé sa Traversée intégrale des Pyrénées à VTT en seulement 10 jours ! Oui oui, vous avez bien lu, 10 jours pour réaliser 811 km et 32290 m de dénivelé (soit une moyenne de 81 km et 3200 m de dénivelé par jour)… tout par les sentiers de montagne bien sûr !

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Ses premiers mots : « Une traversée aussi belle que dure. Les paysages sauvages et immenses m’auront autant marqué que la difficulté rencontrée sur les sentiers. Une magnifique découverte. » 

Bravo à Tito pour cet exploit et pour la passion qu’il met dans toutes ces aventures épiques aux quatre coins du monde ! On le retrouve d’ailleurs dans quelques jours dans les Alpes pour en partager une autre de belle aventure (et par la même occasion fêter cet exploit pyrénéen) à l’occasion du Trip 3000 x Tito Tomasi.

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Cliquez ici pour voir d’autres photos de la Traversée des Pyrénées de Tito Tomasi

2 Comments

  • Bien joué ! ça montre la voie 🙂 ça donne confiance. Ce qui me paraît le plus chaud pour moi, c’est le fait d’être seul. Pas le droit à la grosse faute. Faut être raisonnable, pas trop prendre de risques, bien connaître sa machine, être bon pilote. Est-ce qu’il avait pris une balise qui indique la position et permet l’envoi d’un “SOS” ? est-ce qu’il avait une assistance qui suivait de loin en cas de panne matérielle ? Pour se nourrir je suppose qu’il achetait dans les villages du parcours.

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